* Comment considérez-vous la solitude: comme un isolement à fuir ou comme un retrait à rechercher?
* La solitude peut-elle être considérée comme un recours salutaire, une manière d'être en tête-à-tête avec sa conscience? Ou bien toute solitude vous paraît-elle fausse par nature, la confrontation sociale étant le critère de validité de nos états d'âme et de notre manière d'être?
* Une seule chose est nécessaire: la solitude. La grande solitude intérieure. Aller en soi-même et ne rencontrer pendant des heures personne, c'est à cela qu'il faut parvenir. Être seul, comme l'enfant est seul... R-M Rilke
* La solitude ne dépend pas de l'extérieur; c'est une chose du dedans. E Estaunié. ESt-ce à dire qu'on attire la solitude qu'on mérite, et que les occasions d'amour, d'amitié, de fraternité dépendent de notre disponibilité intérieure, davantage que du hasard des circonstances?
* Comment comprendre cette phrase: L'homme le plus fort du monde entier, c'est celui qui est le plus seul? Doit-on comprendre que l'attachement aux autres rend vulnérable? Que pensez de cette vulnérabilité.
* La plupart d'entre nous ne sommes-nous pas dans la position de Montaigne: Je sais bien ce que je suis mais non pas ce que je cherche"?
Qu'en dites-vous?